
Choisir sa sonorisation portable en 2025
Les sonorisations portables sur batterie sont devenues indispensables pour de nombreux artistes et animateurs nomades. Que vous soyez musicien de rue, animateur de soirées, organisateur de petit concert acoustique, DJ mobile, coach sportif ou conférencier, ces enceintes « tout-en-un » offrent la puissance et la mobilité pour sonoriser vos prestations en tout lieu. Dans cet article, nous comparons en détail neuf modèles phares du marché : Alto Professional Busker, Yamaha Stagepas 200BTR, Yamaha Stagepas 100BTR, Mackie ShowBox, JBL EON One Compact, Soundboks 4, Soundboks Go, BOSS Cube Street II, et BOSS Cube Street EX. Après une présentation des atouts et limites de chaque système, vous trouverez un tableau comparatif synthétique (puissance, autonomie, poids, connectique, prix moyen) puis des conseils pour bien choisir selon votre profil d’utilisation.

🟢 Conseils pour bien choisir sa sono portable
Face à ces nombreuses options, comment sélectionner la sono portable idéale pour votre usage ? Voici quelques pistes à partir de profils d’utilisation courants :
🎸🎤 Musiciens de rue / nomades
La priorité est souvent la portabilité et l’autonomie. Si vous vous produisez en extérieur sans accès au secteur, visez un modèle léger avec une bonne batterie. Par exemple, un chanteur-guitariste itinérant appréciera la compacité du Boss Cube Street II (4,4 kg, 8~14 h sur piles) ou du Yamaha Stagepas 100 BTR (5 kg, 6 h) pour voyager léger. L’Alto Busker (5,4 kg, 20 h) est aussi taillé pour le busking, offrant un peu plus de puissance tout en restant transportable dans une main. Pensez aussi aux entrées disponibles : si vous chantez et jouez d’un instrument, il vous faut au moins deux canaux (ce que proposent tous ces modèles). Si vous êtes un one-man band plus complexe (voix + guitare + looper par ex.), un mixeur intégré multi-voies comme sur le Stagepas 200 BTR ou la Mackie ShowBox peut vous éviter de trimballer une table de mixage séparée. En somme, pour les artistes nomades : privilégiez le poids plume, l’alimentation sur batterie endurante, et les effets intégrés utiles (réverb pour la voix, par exemple).

🕺 🎤 Animateurs, magiciens, conférenciers
Pour de la prise de parole en public ou des animations, il vous faut de la clarté vocale, de la fiabilité, et souvent la possibilité de diffuser aussi des musiques de fond. Un modèle comme le JBL EON One Compact est un excellent choix polyvalent : son rendu voix est clair, il dispose d’un ducking auto (pratique pour les présentations), et le Bluetooth vous permet d’envoyer facilement des jingles ou musiques depuis un smartphone. L’Alto Busker peut aussi convenir grâce à son égalisation adaptée à la voix et sa légèreté (vous pourrez le déplacer au fil de l’événement). Assurez-vous d’avoir suffisamment d’entrées micro si vous animez à deux micros par exemple, la Mackie ShowBox ou le Stagepas 200 offrent 2 à 3 entrées micros avec réglages, ce qui peut être un plus pour une conférence à plusieurs intervenants. Pour les présentations itinérantes (guide touristique, rallye, etc.), le facteur ergonomie compte : un modèle sur piles qu’on allume et qui fonctionne tout de suite (Cube Street EX ou Stagepas 100) évite les soucis techniques. Enfin, réfléchissez à la portée sonore : en plein air, pour être audible par un groupe de 50 personnes en discours, mieux vaut opter pour au minimum ~50 W RMS. Dans ce cas, un Cube Street EX (50 W) ou un Stagepas 200 (180 W) apportera ce qu’il faut de puissance et de headroom, ainsi que des protections anti-larsen utiles.
🎹 🎤 Petits concerts acoustiques
Pour des showcases, sets acoustiques dans des cafés, etc., il faut un bon compromis entre fidélité sonore et couverture. Les solutions type Yamaha Stagepas (100 ou 200) excellent dans ce contexte, elles offrent une restitution neutre et ample, respectueuse des voix et instruments, avec suffisamment de volume pour remplir un petit lieu. Le Boss Cube Street EX peut aussi convenir pour un duo acoustique : ses 4 canaux permettront de brancher deux voix + deux instruments sans rajout de matos. Dans un cadre concert, on aura souvent accès à l’alimentation secteur, donc l’autonomie batterie devient secondaire (mais la possibilité de fonctionner sur piles offre une sécurité supplémentaire contre les coupures de courant). Privilégiez la qualité des préamps et des effets intégrés, par ex., la JBL EON One Compact et le Stagepas 200BTR ont d’excellentes réverbs intégrées qui donneront de la profondeur à votre son sans ingénieur. Pensez également à la disposition scénique : un modèle qu’on peut monter sur pied ou incliner en retour est un vrai plus pour que le son se projette correctement (la plupart de ceux comparés ici le permettent via une embase 35 mm ou un boîtier biseauté). Enfin, surveillez le nombre d’entrées : pour un trio acoustique (chant, guitare, clavier par ex.), la Mackie ShowBox ou le Stagepas 200BTR sont tous indiqués avec leurs 5-6 canaux, alors que le Cube Street II serait insuffisant sans table additionnelle.

🕺👯 DJ mobiles, soirées dansantes
Ici, l’accent est mis sur la puissance et les basses. Sans surprise, les enceintes Soundboks s’imposent si l’on recherche le volume le plus élevé en extérieur sans courant. Une seule Soundboks 4 peut animer une soirée de taille modeste, et en jumelant deux unités en stéréo on obtient un système capable de rivaliser avec des enceintes de sono traditionnelles, le tout sur batterie. Toutefois, notez que les Soundboks n’ont pas de vrai mixeur : le DJ devra utiliser sa propre console de mixage et entrer en ligne sur l’enceinte (ou en Bluetooth depuis un contrôleur DJ équipé). Pour des soirées plus petites (ex : mariage champêtre d’une cinquantaine de personnes), un couple de JBL EON One Compact pourrait suffire, elles se lient en stéréo sans fil, et délivrent un son propre, mais seront un peu justes en infra-basses. À mi-chemin, la Mackie ShowBox peut étonnamment tirer son épingle du jeu : certes prévue pour les musiciens, elle dispose d’un mode “PA” qui étend les graves et les aigus, et sa puissance de 400 W lui permet d’atteindre ~122 dB SPL. Elle intègre en plus une entrée micro si le DJ doit faire des annonces. Mais pour un DJ set musclé en plein air, difficile de battre l’association Soundboks : la Go peut convenir pour un groupe restreint en mode “soirée improvisée”, tandis que la SB4 est idéale pour un événement plus important. Gardez aussi à l’esprit la notion de stéréo : pour la diffusion musicale, si possible multipliez les enceintes (deux au minimum) pour une meilleure image sonore, soit via les fonctions de l’appareil (TWS, TeamUp), soit via un câble (sortie mix vers une seconde enceinte).
🟢 Conclusion
Le choix de votre sono portable doit se faire en fonction de vos besoins prioritaires : mobilité extrême ou puissance maximale, simplicité d’usage ou fonctionnalités avancées, budget serré ou investissement professionnel. Chaque modèle présenté a ses points forts, il n’existe pas de “meilleure” enceinte universelle, mais bien une solution adaptée à chaque utilisation. En identifiant clairement votre contexte (type de prestation, nombre de sources à sonoriser, taille du public, fréquences d’utilisation), vous pourrez sélectionner la sono nomade la plus en accord avec vos attentes. N’hésitez pas à nous contacter par téléphone au ☎️ 05 63 63 09 92, et à considérer l’évolutivité (ex: possibilité d’en coupler deux plus tard, d’ajouter une batterie, etc.). Avec la bonne sono portable, vous aurez la liberté de partager votre son partout, sans contraintes et avec une qualité professionnelle.
❤️ NOTRE SELECTION 2025 ✔️

🔉 Alto Professional Busker
L’Alto Busker est une sono portable idéale pour les musiciens itinérants mais aussi pour les coachs. Compact et léger (5,4 kg seulement), il cache une amplification puissante de 200 W en crête, délivrée via un boomer 6,5″ et un tweeter 1″. Son format type enceinte retour permet de le poser au sol en retour ou de le monter sur pied (embase 35 mm) selon les besoins. Il intègre une batterie longue durée offrant jusqu’à 20 h d’autonomie en mode standard (et jusqu’à 24 h en mode éco réduit) – idéal pour les longues sessions de rue.
✔️Avantages : L’Alto Busker brille par sa portabilité et son endurance. Malgré sa petite taille, il peut sonoriser efficacement un petit groupe grâce à ses 200 W de puissance de crête et ses 106 dB SPL max annoncés. Sa table de mixage 3 canaux intégrée permet de brancher deux sources micro/instrument (entrées combo XLR/jack, avec alimentation fantôme 48V sur l’une) + une source auxiliaire/Bluetooth. On apprécie la présence d’effets numériques Alesis intégrés (réverbération, etc.), ajustables indépendamment sur les deux premiers canaux. La connectivité est complète : Bluetooth 5.0 pour diffuser de la musique sans fil, application mobile de contrôle (iOS/Android), sortie XLR pour envoyer le mix vers une sono externe, sortie RCA Record pour enregistrement, et même un port USB (charge 5V) pour alimenter un smartphone. Enfin, la paire d’enceintes Busker peut se lier sans fil en stéréo (True Wireless Stereo) pour une diffusion élargie.
✔️ Limites : Du fait de son HP de 6,5″, l’Alto Busker reste limité dans les très basses fréquences (réponse en basses jusqu’à ~60 Hz). Il conviendra à la voix et aux instruments acoustiques, mais montrera ses limites pour des musiques très riches en basses ou pour un usage DJ en extérieur. La puissance de 200 W annoncée est en crête, ce qui correspond plutôt à une centaine de watts RMS utilisables – suffisant pour un attroupement modeste, mais pas pour une grande foule. Par ailleurs, les réglages d’égalisation détaillée ne sont disponibles que via l’application mobile (pas de potentiomètres de tonalité sur l’appareil, hormis des presets DSP), ce qui peut dérouter les moins technophiles. De même, l’effet interne est commun aux deux canaux (on ne peut pas avoir de type d’effet différent par canal) même s’il est dosable séparément. Ce sont des compromis mineurs au regard de son positionnement très nomade et de son excellent rapport fonctionnalités/prix.
👉 Plus d'informations sur l' Alto Professional Busker

🔉 Yamaha Stagepas 200BTR
Le Yamaha Stagepas 200 est une sono portable cubique haut de gamme qui mise sur la qualité audio professionnelle. Son coffret de ~30 cm de côté renferme un haut-parleur coaxial 8″/1,4″ délivrant 180 W RMS (ampli classe D). Le rendement est au rendez-vous avec jusqu’à 125 dB SPL max mesuré, suffisant pour des prestations en petite salle ou en rue devant 50 à 100 personnes. Le Stagepas 200BTR se distingue par sa table de mixage numérique 5 voies très complète : 3 entrées micro/ligne sur combo XLR/jack, avec alimentation fantome + 1 entrée stéréo (sur jack TRS) + Bluetooth audio, le tout mixable via l’interface ou une application mobile dédiée. Yamaha a intégré des traitements dignes d’une console : égalisation 1-pot par canal avec presets, multi-effets SPX (réverbs, chorus, delay), simulateurs de micro pour guitares acoustiques, compresseur multibande sur la sortie, ducker automatique pour la voix, suppression de larsen intelligente.
✔️ Avantages : La qualité sonore est un gros point fort. Grâce au transducteur coaxial 8″ haute performance, le Stagepas 200BTR offre un son très équilibré et une dispersion ample et naturelle des aigus. Les voix et instruments sont restitués avec clarté et ampleur, soutenus par des basses correctes compte tenu du format (environ 50 Hz à -10 dB). La puissance de 180 W assure une bonne marge avant saturation, aidée par les traitements DSP (le son reste propre même à fort volume). La section mixage est extrêmement flexible : on peut sonoriser un petit groupe (duo/trio) sur une seule unité (3 micros/instrus + accompagnement audio), ce qui évite de trimballer une table externe. Le contrôle via appli Stagepas Controller est un plus pour régler son mix à distance, ou mémoriser des scènes. Côté construction, l’appareil est robuste et propose plusieurs positions (posé incliné à 30°/60° ou monté sur pied). La batterie lithium (modèle BTR-STP200) est amovible et autorise ~10 h d’autonomie (à volume modéré) – pratique pour jouer en rue ou en extérieur sans courant (on peut sinon l’alimenter sur secteur).
✔️ Limites : Le poids d’environ 12 kg et le format cube peuvent rebuter les artistes les plus mobiles – c’est le prix à payer pour un son de cette ampleur. Ce n’est pas l’enceinte qu’on porte d’une main sur de longues distances (contrairement à d’autres plus compactes). L’autonomie de 10 heures est correcte sans plus, certains concurrents faisant mieux – mais il est vrai qu’ils délivrent souvent moins de puissance. En usage DJ, le Stagepas 200BTR montrera ses limites dans les basses comparé à une enceinte avec subwoofer dédié.
👉 Plus d'informations sur leYamaha Stagepas 200BTR

🔉 Yamaha Stagepas 100BTR
Le Yamaha Stagepas 100 est le « petit frère » du Stagepas 200BTR, il s’agit d’une enceinte 6,5″ coaxiale (1,4″ moteur HF) de 100 W RMS, logée dans un coffret de 5 kg seulement. Pensé pour être ultraportable, le Stagepas 100BTR fonctionne sur batterie interne pour environ 6 heures d’autonomie. Son format compact (environ 31×24×22 cm) et sa poignée lui permettent d’être transporté « à bout de bras » très facilement. Malgré sa petite taille, il intègre un mixeur 3 canaux : deux entrées combo XLR/jack (dont l’une acceptant haute impédance pour guitare) et une entrée stéréo sur mini-jack 3,5 mm. Le Stagepas 100 propose également le Bluetooth audio (liaison multi-point) pour diffuser de la musique sans fil.
✔️ Avantages : Le maître-mot est la simplicité. La mise en route est immédiate : on allume, on branche un micro et/ou un instrument, on ajuste le volume, et c’est parti! Les réglages se résument à un égaliseur 2 bandes sur la sortie (grave/aigu) et une réverbe commutable, suffisamment pour les usages courants. Le son est étonnamment bon pour la taille : Yamaha a soigné la cohérence grâce au haut-parleur coaxial et à ses filtres FIR-X, obtenant une diffusion claire et homogène. Avec 112 dB SPL max, il se défend bien face à des modèles plus gros. On peut sonoriser un chanteur/guitariste dans la rue ou une petite animation en intérieur sans souci. Sa compacité (peu encombrant sur scène) et la possibilité de le visser sur un pied de micro (embase 3/8″) sont très appréciables pour les musiciens nomades.
✔️ Limites : Avec seulement 100 W et un boomer 6,5″, le Stagepas 100BTR n’est pas conçu pour de grosses prestations. Il atteindra vite ses limites en plein air bruyant ou pour de la musique très rythmée. Son autonomie de 6 heures peut paraître un peu juste pour une journée complète de busking (prévoir une batterie de rechange ou le secteur). Contrairement au Stagepas 200, il n’intègre pas de traitement avancé : pas de multi-effet sophistiqué (juste une réverb simple), pas de réglage précis sans l’application (il n’y a pas d’appli dédiée d’ailleurs pour ce modèle). On dispose uniquement d’un EQ général 2 bandes, ce qui peut nécessiter un petit pédalier d’effets externe pour les chanteurs exigeants. De plus, aucune sortie ligne n’est disponible (sauf l’i-Cube Link qui peut servir de sortie mono 3,5 mm), ce qui limite les extensions. Cela reste cohérent avec sa vocation ultra-mobile et son excellent rapport poids/performances pour des usages de proximité.
👉 Plus d'informations sur le Yamaha Stagepas 100BTR

🔉 Mackie ShowBox
La Mackie ShowBox est un système de sonorisation portable tout-en-un particulièrement innovant. Pensé comme un “performance rig” complet, il combine une enceinte 2 voies de 8″/1″ (montée dans un caisson robuste), un amplificateur 3x72 W (soit ~400 W en pointe), et surtout une console de mixage numérique 6 canaux détachable. En effet, la ShowBox intègre un mixeur 6 entrées amovible : on peut le désolidariser de l’enceinte pour le placer à portée de main (avec un câble RJ45 fourni) ou le fixer sur un pied séparé. Ce mixeur offre des fonctionnalités dignes d’un studio : égalisation 3 bandes par canal, compresseurs sur 4 entrées, deux banques d’effets DSP (14 effets individuels type chœurs, délai, overdrive… + 17 effets master dont réverbes), un looper enregistreur intégré (overdub possible), un accordeur pour guitare, une boucle d’effet externe (send/return sur jack 6,35), etc. Niveau connectique, elle surpasse la concurrence : 2 entrées micro XLR (avec alimentation phantom), 2 entrées ligne/instrument sur jack 6,35, 1 paire d’entrées ligne 5/6 (jack gauche/droite) pouvant servir en stéréo ou mono, une entrée Aux 3,5 mm, une sortie casque 6,35, une sortie ligne mix XLR, un port USB-C (interface audio pour enregistrement direct sur ordinateur) et même un logement pour carte microSD (enregistrement interne). Le tout est alimenté par une batterie lithium remplaçable offrant jusqu’à 12 h d’autonomie.
✔️ Avantages : La Mackie ShowBox se présente comme une solution ultra-complète pour les performers. Elle peut servir à la fois de sono portable puissante (jusqu’à ~122 dB SPL) et de station de création autonome. Parmi ses atouts : une palette d’effets intégrés impressionnante (on peut par exemple appliquer une réverb globale tout en mettant un chorus sur la guitare et un délai sur la voix, sans matériel externe). Le looper permettra aux one-man bands de s’enregistrer en direct et de superposer des couches musicales. La ShowBox est aussi taillée pour la guitare électrique : on peut y connecter un footswitch (pédale) pour activer/désactiver à distance la réverb ou les harmonies par exemple, et des presets d’effets incluent overdrive, flanger, etc., rendant l’usage d’un ampli guitare dédié parfois optionnel. En mode “Amplifier”, un voicing spécial accentue les médiums pour optimiser le rendu guitare/voix en busking, tandis qu’un mode “PA” linéaire est disponible pour diffuser de la musique enregistrée avec plus de basses. On note aussi l’ajout d’un feedback killer automatique efficace contre le larsen, et d’un bouton Outdoor qui adapte l’égalisation pour compenser l’absence de réflexions en plein air (boost des graves/aigus). La qualité de fabrication est au rendez-vous (coffret polypropylène renforcé, coins protégés), avec un format encore portable : ~9,5 kg pour l’ensemble. L’autonomie de 12 h est confortable, et la batterie amovible permet d’en avoir une de rechange pour enchaîner les sets.
✔️ Limites : La Mackie ShowBox est clairement orientée vers les utilisateurs avancés qui exploiteront ses nombreuses fonctions. Pour un musicien solo ou un conférencier qui cherche juste « un ampli nomade plug-and-play », la ShowBox pourra sembler complexe à configurer (multiples réglages de mix, d’effets, etc.). L’ergonomie du mixeur détachable est bien pensée, mais il faut tout de même un temps d’apprentissage pour maîtriser les boucles, effets et snapshots. Sur le plan sonore pur, malgré ses 400 W annoncés (en réalité ~2x72 W + 1x72 W tri-amplifiée), son niveau max réel avoisine 122 dB, très correct mais pas forcément plus élevé qu’une enceinte concurrente de prix équivalent. Cela s’explique par le fait qu’une partie de la puissance est dédiée aux effets et au headroom. Les dimensions restent compactes mais on approche la limite du « portatif » : l’enceinte prend de la place (50 cm de haut) et nécessite un support solide si on la met sur pied. Enfin, on peut mentionner l’absence d’un True Wireless Stereo : la ShowBox peut chaîner plusieurs unités via câble (sortie Mix XLR ou TeamUP SKAA) mais ne propose pas de couplage Bluetooth stéréo. Cela mis à part, elle s’impose comme l’une des sono batteries les plus polyvalentes du marché, presque un petit studio nomade.
👉 Plus d'informations sur le Mackie ShowBox

🔉 JBL EON One Compact
La JBL EON One Compact est une enceinte portable à batterie très populaire. JBL a mis l’accent sur la compacité (seulement 8 kg pour une enceinte 8″ + tweeter) et la facilité d’utilisation, sans sacrifier la puissance : elle peut délivrer jusqu’à 112 dB SPL grâce à un ampli de 120 W RMS (150 W en crête). C’est une solution « prête-à-jouer » avec un mixeur 4 canaux intégré et contrôlable via une appli mobile. On retrouve 2 entrées micros/ligne XLR-jack (avec de bons préamps et même une alimentation phantom), 1 entrée instrument hi-Z (jack 6,35), 1 entrée auxiliaire mini-jack 3,5 mm, et le Bluetooth pour le streaming audio. L’enceinte peut fonctionner sur sa batterie rechargeable jusqu’à 12 heures (en utilisation modérée), avec la possibilité de la remplacer à chaud (batterie amovible sans outil) pour enchaîner les performances.
✔️ Avantages : La JBL EON One Compact excelle par son équilibre global. Le son est étonnamment ample pour sa taille : les basses descendent aux alentours de 37 Hz (–10 dB), ce qui est remarquable pour un boîtier aussi compact, grâce à un accord bass-reflex optimisé. En pratique, elle offre une assise de basses suffisante pour de la musique d’ambiance ou accompagner un instrument basse/guitare, tout en conservant des médiums clairs et des aigus précis. Son mixer interne est très complet : via l’application mobile JBL Compact Connect, on accède à un EQ 8 bandes sur la sortie, des effets Lexicon (reverb, chorus, delay) et dbx intégrés sur chaque canal, et même un ducking automatique qui baisse la musique quand on parle dans le micro (pratique pour les cours de fitness ou les présentations). La connectique intègre en plus deux ports USB qui permettent de charger un téléphone ou d’alimenter des accessoires (comme un récepteur micro HF AKG) directement sur la batterie de l’enceinte. Côté mobilité, son format cube de 40 cm de haut avec poignée est ultra-pratique et elle peut être inclinée en retour. On peut aussi coupler 2 unités en stéréo (TWS Bluetooth) ou même diffuser sur 4 enceintes simultanément via l’appli (mode broadcast multi-enceintes).
✔️ Limites : La EON One Compact a peu de défauts intrinsèques, mais quelques points à noter. Pas de vraie console physique : tous les réglages fins (EQ, effets) se font via le smartphone – heureusement l’appli est bien faite, mais certains préféreront des boutons. En usage intensif, l’autonomie tombe à environ 6 heures à plein volume, ce qui est dans la moyenne mais nécessite de prévoir une pause recharge pour une journée complète (charge rapide ~2,5 h). Si on pousse l’enceinte dans ses retranchements (surtout sur des musiques basses très appuyées), un limiteur intervient pour protéger les HP ; le niveau sonore reste élevé mais on perçoit que les basses sont contenues pour éviter la saturation. Cela dit, pour couvrir un public nombreux en extérieur, ce modèle seul montrera ses limites – il excelle plutôt en duo avec une seconde unité ou dans des espaces plus restreints. À signaler aussi, l’absence d’un lecteur USB direct (il faut passer par le Bluetooth ou l’entrée mini-jack pour la musique enregistrée). Enfin, même si la puissance est très honorable, une enceinte comme la Soundboks sera plus adaptée pour une ambiance “boom party”. La JBL vise un équilibre entre reproduction fidèle et praticité, et remplit parfaitement cette mission.
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🔉 Soundboks 4
La Soundboks 4 se présente comme « la plus puissante des enceintes portables ». C’est un modèle à part dans cette sélection, car il s’agit avant tout d’une enceinte de soirée taillée pour les gros volumes sonores. Avec ses deux boomers de 10″ et son tweeter 1″, elle peut délivrer jusqu’à 126 dB SPL en crête, soit un niveau proche d’une sonorisation DJ professionnelle. L’amplification interne totalise ~216 W RMS (3 modules de 72 W classe D). La Soundboks 4 est équipée d’une batterie amovible (BatteryBoks) au lithium-fer offrant une autonomie record de 40 h à volume modéré (environ 5-6 h à plein volume). La construction est massive : boîtier en contreplaqué avec châssis aluminium, protégée contre les projections d’eau et la poussière (norme IP65 pour l’électronique). L’enceinte pèse 16 kg et mesure 66×43×32 cm, on reste portable à deux mains, mais on se rapproche du gabarit d’une petite enceinte sonorisation classique.
✔️ Avantages : La force de la Soundboks 4 réside évidemment dans son volume sonore et ses basses. Avec deux woofers de 10 pouces, elle descend aisément à 40 Hz et procure un grave physique que les petites enceintes ne peuvent égaler. Pour un DJ mobile ou une fête improvisée en extérieur, c’est un choix de prédilection, elle peut sonoriser un dancefloor d’une cinquantaine de personnes en plein air sans difficulté. Le système de batterie interchangeable est aussi un point fort : on peut acheter une batterie supplémentaire et la remplacer en quelques secondes, prolongeant la fête indéfiniment. La Soundboks 4 propose une connectivité Bluetooth 5.0 fiable pour la musique, mais aussi un panneau “Pro” avec 2 entrées combo XLR/jack (pour brancher directement un micro ou une table de mixage en sortie symétrique), une entrée auxiliaire mini-jack et une sortie mini-jack (pratique pour chaîner un caisson ou enregistrer). Une technologie propriétaire TeamUp (SKAA) permet de synchroniser jusqu’à 5 enceintes Soundboks sans fil avec une latence faible, afin de couvrir de plus grands espaces ou réaliser une diffusion multi-room. L’enceinte embarque un DSP adaptatif “Bass Enhancer” qui optimise le rendu sonore en temps réel et offre des profils sonores configurables via l’appli (vous pouvez choisir un mode Indoor/Outdoor, etc.). Le design robuste est un atout pour les usages intensifs : coins renforcés, grille acier, poignées, structure prévue pour encaisser chocs et météo.
✔️ Limites : La Soundboks 4 est volumineuse et lourde, ce qui la destine plutôt aux usages où la puissance prime sur la discrétion. À 16 kg, on peut la déplacer, mais il faudra peut-être un chariot pour de longs trajets, et elle occupe de la place dans un coffre de voiture. Son orientation “enceinte de soirée” fait qu’elle n’a pas de véritable mixeur intégré : contrairement aux Stagepas ou ShowBox, ici pas d’effets ni de réglages fins – juste un gros volume et c’est parti. Pour les musiciens, cela signifie qu’il faudra une petite console externe si on veut brancher plusieurs sources ou ajuster l’EQ (il y a bien des entrées XLR/jack, mais elles n’ont pas d’égalisation individuelle, juste un contrôle de gain via l’app). En outre, pas de réverb ou traitement pour une voix branchée en direct : la Soundboks est surtout faite pour diffuser de la musique enregistrée ou amplifier un signal déjà mixé. Le prix enfin est conséquent. La Soundboks 4 occupe une niche spécifique : celle du « boombox » ultime pour grosses teufs ou événements sportifs extérieurs, où elle n’a quasiment pas de concurrence en termes de volume sur batterie.
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🔉 Soundboks Go
La Soundboks Go est la version compacte de la Soundboks, et offre une solution plus transportable tout en restant très puissante. Elle embarque un boomer 10″ et un tweeter 1″ (configuration 2 voies), alimentés par 2 amplis de 72 W (environ 144 W RMS au total). La Go peut atteindre 121 dB SPL à plein volume – ce qui est remarquable compte tenu de sa taille réduite (46×32×27 cm pour 9,2 kg). Elle utilise la même batterie amovible que la Soundboks 4, offrant là aussi jusqu’à 40 h d’autonomie à volume modéré (et environ 10 h à fond). Le châssis est en ABS polycarbonate robuste, avec coins caoutchouc et un indice IP65 sur l’électronique, la Soundboks Go est conçue pour résister aux aléas des déplacements et de la météo.
✔️ Avantages : La Soundboks Go réunit beaucoup d’arguments pour qui cherche un haut volume sans s’encombrer. Par rapport à la grosse SB4, elle se porte aisément tout seul, on peut même l’équiper d’une bandoulière (loop strap) pour la transporter sur l’épaule. Elle conserve la signature Soundboks en termes de son : basses puissantes et sonorité “fiesta”, avec un DSP interne qui maximise l’impact des basses malgré le format plus petit. Elle fait merveille pour animer un petit rassemblement en extérieur, des cours de fitness ou de danse, etc. La connectivité est identique à la grande : Bluetooth 5.0 et mode TeamUp pour la coupler avec d’autres Soundboks (on peut mixer des Go et des 4 ensemble en sans-fil). Si besoin de plus de portée, on pourra en utiliser deux en stéréo ou plusieurs en multiroom SKAA. L’appli Soundboks permet d’ajuster quelques profils sonores (EQ prédéfinis) et de mettre à jour le firmware pour de nouveaux “Sound Modes”. La batterie amovible est un atout énorme sur ce format : pouvoir swapper et ne jamais être à court d’énergie est un vrai plus en usage professionnel.
✔️ Limites : La Soundboks Go, comme la 4, est dépourvue de mixage multi-entrées. Elle ne possède pas les deux entrées XLR/jack du modèle 4 (pas de Pro Panel), uniquement une entrée mini-jack 3,5 mm auxiliaire en plus du Bluetooth. Cela signifie que pour brancher un micro ou un instrument, il faudra passer par une console externe ou un micro avec sortie ligne adaptée. Elle cible donc principalement la diffusion musicale et non la prise de son directe. Bien que plus légère, 9,2 kg reste un poids conséquent par rapport à des enceintes comme l’Alto Busker (5 kg) ou la Cube Street II (4,4 kg). De plus, elle ne dispose pas d’embase pour pied (difficile de la surélever, sauf à bricoler un support). Enfin, malgré une restitution sonore globalement bonne, ce n’est pas la plus fidèle : le son est typé “soirée” avec un loudness marqué, moins neutre qu’une enceinte de monitoring ou qu’un Stagepas par exemple. Pour du chant live, mieux vaudra ajouter une petite pédale d’effet ou un préamp externe car la Soundboks Go ne flattera pas autant la voix qu’une enceinte dédiée aux musiciens. En somme, elle remplit parfaitement sa fonction : être une enceinte puissante, robuste et mobile pour faire la fête, avec les concessions que cela implique sur la partie mixage.
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🔉 BOSS Cube Street II
La BOSS Cube Street II est la digne héritière du célèbre ampli Roland Cube Street, bien connu des artistes de rue. Cette petite enceinte stéréo vise le busking et les petites performances acoustiques. Elle se présente sous la forme d’un combo bi-amplifié de 2×5 W (donc 10 W au total) avec deux haut-parleurs de 6,5″. Sa conception est axée sur la légèreté et la praticité : seulement 4,4 kg sur la balance grâce à un caisson ABS moulé ultra-résistant. Elle fonctionne sur 8 piles AA, offrant jusqu’à 8 h d’autonomie à pleine puissance (10 W), et davantage en mode éco 5 W (on atteint ~11-14 h). Le Cube Street II propose 2 canaux principaux : un canal micro/ligne (XLR/jack) et un canal instrument (jack) pouvant aussi accepter un micro. Chacun dispose de réglages d’égalisation 3 bandes et d’effets Delay/Reverb. En prime, BOSS a ajouté une fonction Harmony pour générer des chœurs virtuels sur la voix (trois types d’harmonies disponibles), ainsi qu’un looper 45 secondes (via pédale en option). Une entrée Aux/i-Cube Link mini-jack permet de diffuser une musique d’accompagnement ou de brancher son smartphone (et même d’enregistrer via l’app i-CUBE Link).
✔️ Avantages : Le Cube Street II est sans doute l’une des sonos batteries les plus faciles à transporter, son format valisette (41×28×25 cm) se glisse partout et son alimentation par piles AA évite de devoir recharger (on trouve des piles ou on utilise des accus Ni-MH). Il est idéal pour le musicien solo (par ex. un chanteur-guitariste) qui veut un système tout-en-un plug-and-play. La qualité sonore est tout à fait honorable à courte portée : les 2 HP de 6,5″ délivrent un son stéréo clair, suffisant pour couvrir un coin de rue ou un petit attroupement. Les effets intégrés simplifient la vie, une touche de réverb sur la voix, un petit delay sur la guitare, et l’on obtient un son enrichi sans matos supplémentaire. Mention spéciale à la fonction Harmony qui peut épaissir la voix avec des chœurs numériques (utile pour les refrains par exemple). Le Cube Street II peut également servir de retour de scène très pratique de par sa forme inclinée. Et si l’on a besoin de plus de canaux, on peut chaîner un deuxième Cube Street II pour doubler les entrées (ou utiliser sa sortie line vers une autre sono).
✔️ Limites : Ce modèle est clairement orienté petites puissances : 10 W, cela reste limité en portée. Dès qu’il y a du bruit ambiant important, le Cube Street II montre ses limites en volume – il convient mieux aux endroits calmes ou aux prestations statiques. Les basses sont forcément en retrait (HP 6,5″ oblige) et saturent si on pousse trop fort sur une source graves (basse ou clavier). L’autonomie bien que correcte (8 h) peut chuter si on utilise des piles alcalines de moindre qualité ou si on sollicite beaucoup les effets numériques. D’ailleurs, l’absence de batterie rechargeable incluse peut être un inconvénient pour certains, il faut prévoir un jeu de piles rechargeables pour un usage régulier (mais l’avantage est de pouvoir en changer instantanément). Côté connectique, on n’a que deux entrées simultanées utilisables, ce qui suffit pour un duo basique, mais pas plus, au-delà, une petite table analogique sera nécessaire. Enfin, comparé à des modèles plus puissants, le Cube Street II ne conviendra pas pour animer une soirée ou couvrir une grande pièce ; il excelle vraiment en street amp d’appoint pour musiciens acoustiques, ce qui est sa vocation initiale.
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🔉 BOSS Cube Street EX
Le BOSS Cube Street EX est le grand frère boosté du Cube Street, pensé pour offrir plus de volume tout en restant portable. Il s’agit d’un combo stéréo de 50 W max (2×25 W) équipé de deux boomers 8″ et deux tweeters 2″. Avec ses 7,4 kg et son format toujours compact (49×34×30 cm), le Street EX reste facilement transportable. Il fonctionne lui aussi sur 8 piles AA, avec trois modes de puissance sélectionnables : Max 50 W (env. 5 h d’autonomie), Normal 25 W (~10 h) et Eco 10 W (~20 h). La console intégrée propose 4 canaux indépendants : deux entrées combo XLR/jack (mic/instrument avec EQ 3 bandes et réverb chacun) + un canal Line In stéréo (RCA ou jack 6,35) + un canal Aux In (mini-jack, compatible i-Cube Link iOS). En outre, des effets sont disponibles pour les guitaristes (simulations COSM de sons clairs/saturés, chorus, delay) sur l’un des canaux instrument. Le Cube Street EX possède aussi un Stereo Link permettant de chaîner deux unités et doubler ainsi les canaux (8 canaux au total) et la puissance pour les plus grands setups.
✔️ Avantages : Le Cube Street EX est sans doute l’une des meilleures solutions tout-en-un pour le musicien de rue exigeant en termes de puissance. En mode 50 W, il offre un volume sonore très confortable pour une petite foule, tout en conservant une bonne clarté grâce au bi-cône 8″+2″ par canal. Les 4 canaux permettent à un groupe acoustique (ex : deux chanteurs + guitare + clavier) de se sonoriser sur un seul ampli, ce qui est unique dans ce gabarit. La qualité de fabrication est solide (coque ABS, résistant aux tournées extérieures). La possibilité de réduire la puissance à 25 W ou 10 W est intelligente pour gérer l’autonomie : en répétition ou rue calme, on peut passer en éco et tenir près de 20 heures sur batteries. L’ajout de simulations d’ampli guitare évite d’avoir à trimballer un ampli dédié, on peut jouer de l’électrique ou électro-acoustique directement dedans avec un son convenable. Notons aussi la présence de sorties Line stéréo qui permettent d’utiliser le Cube EX comme une petite console/mixette pour envoyer le son vers une sono plus puissante lors de concerts (ou vers un enregistreur). Enfin, Roland/BOSS ayant une longue expérience en la matière, ce modèle a fait ses preuves de fiabilité : c’est un choix sûr pour les performers itinérants depuis de nombreuses années.
✔️ Limites : Malgré ses 50 W, le Cube Street EX reste un ampli de proximité, il ne rivalisera pas avec une enceinte de sonorisation de 300 W sur pied en plein air. Il privilégie la polyvalence au détriment de la spécialisation : les basses, bien que meilleures que sur le petit Cube, restent limitées par le volume de l’enceinte (on est loin du punch d’une enceinte avec subwoofer). Pour de la musique avec grosse percussion ou basses électroniques, il montrera ses limites en extérieur. L’alimentation par piles, là encore, peut être contraignante en usage intensif (il faudra investir dans 8 accus de grande capacité et leur chargeur, ou brancher l’adaptateur secteur fourni quand c’est possible). Sur le plan de la diffusion du son, le Cube EX projette moins loin qu’une enceinte en hauteur, en rue il vaut mieux le surélever sur son pied (support optionnel) pour toucher un public plus large.
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🟢 Tableau Comparatif Récapitulatif
Pour résumer, chaque modèle présenté a ses spécificités. Le tableau comparatif ci-dessous permet un coup d’œil sur les caractéristiques-clés :
Modèle | Puissance | Autonomie | Poids | Connectiques principales |
---|---|---|---|---|
Alto Busker | 200 W crête (env. 100 W RMS) | jusqu’à 20 h (Standard) | 5,4 kg | Bluetooth 5.0, 2× XLR/jack (mic/ligne), Aux 3,5 mm, effet Alesis, sortie XLR |
Yamaha Stagepas 200BTR | 180 W RMS | ~ 10 h (batterie amov.) | 12,8 kg | Bluetooth, 3× XLR/jack (mic/ligne), entrée stéréo, mix 5 canaux avec effets, XLR Line Out, véritable console numérique |
Yamaha Stagepas 100BTR | 100 W RMS | ~ 6 h (batterie intégrée) | 5 kg | Bluetooth, 2× XLR/jack (mic/instr.), Aux 3,5 mm, EQ 2 bandes, sortie mix XLR |
Mackie ShowBox | 400 W max (3x amp classe D) | jusqu’à 12 h (batterie amov.) | 9,5 kg | Bluetooth, mixeur 6 canaux détachable : 2× XLR, 4× jack 6,3 mm, Aux 3,5 mm, SD, USB-C audio, sortie casque, XLR Line Out |
JBL EON One Compact | 150 W crête (120 W RMS) | jusqu’à 12 h (6 h à fond) | 8 kg | Bluetooth 5.0 (TWS), mix 4 canaux : 2× XLR/jack (mic/ligne) + 1× Hi-Z (6,3 mm) + Aux 3,5 mm, effets Lexicon, 2× USB charge, sortie casque |
Soundboks 4 | ~ 216 W RMS (3×72 W) | 40 h (mi-volume), ~6 h à fond | 16 kg | Bluetooth 5.0, TeamUP SKAA (jusqu’à 5 enceintes), 2× Combo XLR-6,3 mm (mic/ligne), Aux 3,5 mm In/Out, appli Soundboks (modes sonores) |
Soundboks Go | ~ 144 W RMS (2×72 W) | 40 h (mi-volume), ~10 h à fond | 9,2 kg | Bluetooth 5.0, TeamUP SKAA, 1× Aux 3,5 mm (pas d’entrée XLR intégrée), appli Soundboks (EQ) |
BOSS Cube Street II | 10 W (stéréo 2×5 W) | ~ 8 h (à 10 W) / 14 h (à 5 W éco) | 4,4 kg | 2 canaux (1× XLR/jack + 1× jack), effets Reverb/Delay, fonction Harmony voix, Aux/i-CUBE Link 3,5 mm, sortie ligne (casque) |
BOSS Cube Street EX | 50 W max (2×25 W) | 5 h (50 W) / 10 h (25 W) / 20 h (10 W) | 7,4 kg | 4 canaux (2× XLR/jack + Stéréo L/R + Aux), EQ 3 bandes + réverb par ch., effets COSM guitare, Stereo Link, sorties Line Out |
(NB: Puissances indiquées = valeurs constructeurs. Autonomies indicatives, pouvant varier selon le volume et l’usage des effets.)
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